C’est le martèlement de sangs millénaires qui traverse les âges.
C’est le rugissement des âmes assoiffées qui quémandent leur part
C’est le rugissement des âmes assoiffées qui quémandent leur part
de Liberté et d’Amour.
C’est le son des chaînes qui tombent et se déchainent.
C’est la prière païenne à Gaïa.
C’est le grondement des colères retenues qui n’ont plus de pavés à battre.
C’est le sang offert à la terre, c’est la voix donnée au vent.
C’est le prix à payer pour s’approcher aussi près de Dieu.
C’est la poussière qui s’élève en même temps que nos espoirs
C’est le son des chaînes qui tombent et se déchainent.
C’est la prière païenne à Gaïa.
C’est le grondement des colères retenues qui n’ont plus de pavés à battre.
C’est le sang offert à la terre, c’est la voix donnée au vent.
C’est le prix à payer pour s’approcher aussi près de Dieu.
C’est la poussière qui s’élève en même temps que nos espoirs
de retrouver qui l’on est.Je ne peux pas rater ces rendez-vous avec moi-même. Je souris. Je sens les autres. Je les sens autour de moi, avec moi, en moi.
Je me souris: Salut toi, ça fait plaisir de te retrouver!
Ca y est je suis en paix. Je peux laisser le son entrer.
Aspiration. Trou noir et nébuleuse. L’oeil du reptile s’ouvre enfin.
Je dessine le son, je joue avec le son, il me fait rire! Il me fait jouir, Il me fait disparaitre, Il me fait renaître.
Ce n’est pas moi qui danse, je n’entends plus le son avec mes oreilles.
Je n’écoute plus le son: je SUIS le son.
Feu d’artifice. Tous mes globules en frémissent et vibrent d’un commun accord.
Et je vibre alors à l’unisson des battements de coeur de la Vie.
Ca y est je suis en paix. Je peux laisser le son entrer.
Aspiration. Trou noir et nébuleuse. L’oeil du reptile s’ouvre enfin.
Je dessine le son, je joue avec le son, il me fait rire! Il me fait jouir, Il me fait disparaitre, Il me fait renaître.
Ce n’est pas moi qui danse, je n’entends plus le son avec mes oreilles.
Je n’écoute plus le son: je SUIS le son.
Feu d’artifice. Tous mes globules en frémissent et vibrent d’un commun accord.
Et je vibre alors à l’unisson des battements de coeur de la Vie.
Est-ce que tu l’entends?
C’est la trance…
C’est la trance…
Tinker Belle
