Je n’ai pas de limites

Ceux qui connaissent mon parcours ne s’étonnent plus, lorsque j’ai un projet, je m’y jette à corps perdu, avec un enthousiasme et une capacité de travail intense, sans jamais envisager l’échec. J’ai connu plusieurs grands virages professionnels, d’ailleurs, à l’heure où j’écris ces lignes j’en vis un nouveau et à chaque fois, c’est l’envie qui m’a poussé à changer, l’évidence qu’un chapitre se terminait et qu’un autre commençait.

A chaque fois, je me suis concentrée sur l’accroissement de mes moyens et non sur la peur de l’échec. Que dois-je faire, devenir, apprendre pour réaliser ce projet ? Qui dois-je rencontrer, quel état d’esprit est-il nécessaire ?

Le film illustre l’idée de la possibilité. Nous sommes ce que nous choisissons d’être, pour le meilleur et pour le pire. Nous n’avons aucune autre limite que celles que nous imposons et tout est possible à condition de le vouloir avec ferveur et persévérance.

Souvent, c’est la persévérance qui fait défaut. Nous ne sommes parfois pas prêts à payer le prix de nos souhaits et finalement, c’est plus confortable de penser que nous ne pouvons pas y arriver.

Pour repousser vos limites, vous devez être obsessionnel et concentré sur votre projet. Il n’y a pas de plan B, il n’y a pas de distractions ou de faux-fuyant et pour parvenir à ce degré d’implication vous devez éprouver du plaisir, de la joie dans l’acquisition des moyens nécessaires à votre réussite.

Dans notre société, il y a une véritable arnaque sur la notion de travail, véhiculée entre autres par son origine étymologique. Le mot «  travail » serait issu du terme « tripalium », instrument de torture antique. Mais d’autres étymologies proposent des alternatives sérieuses et qui y voient le mariage des idées de voyage et d’effort, d’obstacle à franchir. La recette alchimique serait-elle donc ici ?

Accroître nos ressources dans l’énergie du plaisir ?

Tant que le travail est considéré comme une souffrance, vous n’y parviendrez pas. Repousser les limites demande une envie farouche, une soif absolue que seule l’envie peut fournir.

Est-ce à croire qu’il n’y a pas de douleur, de doute ou de périodes de découragement ? Bien sûr que non ! Mais ce qui fera la différence, c’est la manière dont vous réagirez aux feed-back de la vie. Les commerciaux ont une phrase que j’aime bien pour expliquer cette idée : «  Si la porte est fermée, je rentre par la fenêtre.»

Vous devrez parfois changer de tactique, réévaluer votre plan, modifier l’itinéraire, mais si le but reste clair et que votre envie est intacte, vous y parviendrez, pas après pas ; malgré les impondérables et les retards. Tout est question de persévérance et de croyance.

Bon courage …

 

 

 

 

 

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