Joues avec moi !

Ces deux jours à venir je ne suis là pour personne…
En ces Jours étranges, je Monte là haut sur Paris et quitte mon Château de brume sans mon Tricycle jaune ou ma Cadillac noire, et ce pour rejoindre le Peuple manifestant, retrouver l’Oiseau liberté, Rue d’la soif et l’Humaniste de Châtillon sur Seine avec l’espoir de Sauver cette étoile. Bonnie, Marie ou Maryline, la Marguerite, Lula, Alice, Kasia, Betty, Debbie et Pierrot seront là tout comme Mon Européenne, Les Magnifiques, Les Infidèles et Les meurtrières. Jeune et con, vieux et fou, Fils de France, frangines, frangins, nous Tous les gamins du monde nous serons une nouvelle fois, cette Jeunesse qui se lève, Menacés mais libres, malgré Des Marées d’écume à nos yeux. Tout est noir dans ce pays en perdition, Autour de nous les fous et Ceux qui sont en laisse. Mais en cette Fin des mondes, En Bords de Seine, nous, bien qu’Usés et Cherchant encore, nous continuerons d’y croire à cette putain de magie des rencontres…

 

 

 

J’ai été jeune et çon
Et j’ai voulu sauver cette étoile
J’ai retenu la leçon
Empêtré dans la toile
En ces jours étranges
Je veux m’en aller
Retrouver mon ange
Et lui chanter:
Un hallelujah au crépuscule
De ce soleil 2000
Dont les rayons brûlent
Mon coeur en plein dans le mille
Amandine ma rock n roll star
Tu es ma funny valentine
Moi un artiste à part
Qui pleure son âme
Toi t’es montée là-haut
Rejoindre le petit prince
Moi je n’ai que ces mots
Pour te dire que pour toi j’en pince

 

 

MON Dieu, si je n’existais pas
Vous non plus n’existeriez
Puisque moi n’est ce pas vous
Avec ce besoin que vous avez de moi
KISS you KISS you

 

 

Elle le contemple son lulu bistrot qui va de rade en rade pour la trouver et en même temps l’oublier, elle le rend fou, elle lui fait tourner la tête, « qu’il est bête » ce dit elle, pourtant je l’aime bien ce con putain il est marrant, il est pas trop con ouai, puis il est pas mal non plus, il est bien mon lulu, faudrait juste qu’il arrête de se détruire pour qu’on construise un empire…

 

 

 

Dis moi de te rejoindre la ou tu es,
Dans ta vie est c’qu’il fait jour ?
Y’a t’il des gens qui se tueraient,
A voir ton coeur remplit d’amour.

Dis moi que tu n’es pas heureuse sans moi,
Que tu rêves de t’endormir dans mes bras.

 

 

Vous deux là haut
racontez moi des histoires
racontez moi comme ce passe la vie au dessus des nuages
et si nos songes arrivent jusqu’à vous

vous qui n’êtes pas restés assez longtemps
vous qui n’avez pas vécus un rêve sur terre
vous, si, vous m’entendez, est ce qu’en criant encore plus fort mon mal être vous re-descendriez ?

mais ici, on peut pas crier, en vie, on peut pas crier
crier et se montrer faible, c’est interdit.
alors on prend des psychotropes pour être fort
on s’envoie de l’acide pour enjoliver nos spleens

ou comme moi, on attend,
on attend que cela passe.
on prend son mal en patience, tellement en patience qu’on arrive à la fin déjà.

est ce que là haut, la vie est plus douce ?
est ce que là haut, les gens s’aiment tous ?
si nous vous entendez, répondez.
quoi qu’il en soit rendez vous dans quelques temps, quelques jours, quelques heures. je sais pas trop. de nombreuses décennies, je préférerais.
On va essayer de devenir heureux avant de regretter.

 

 

 

Éphémère la vie sur terre
Effet mer vers l Angleterre
Et fée mère fruit de nos artères
Ai fait maire les diamantaires
FM erre mort des disquaires
En quête d éternité
L éphémère veut durer
Enquête des terres bafouées
L éphémère sait lutter
(samedi 26 août 2017, 14h50)

 

 

 

Un soir où j’en avais besoin, tu m’as sonné.
Ces quelques mots satellitaires te remercient,
D’avoir offert tes poèmes les matins de pluie,
Sens-tu mes passions et bêtises amourachées ?

Sur la route vers le Liechtenstein, admirer
En Dieu, le Prince et la Patrie, dans le marginal,
Et surement jusqu’au fond de ton Universal :
L’amour. (On sait, que les patrons faut les sucer.)

Pour Marguerite ou Dorothée
De salles de concert sentant le camphre
En disques mettant les cœur au garde à vous

Mon compagnon de lycée, mon Noir Désir raté,
J’ai grandis avec tes mots accrochés au ventre,
Un truc comme ça me rend fou.